Le nouveau maillot des Équipes de France !
Nouveau maillot des Équipes de France et collection Jordan x FFBB, disponibles le 1er juillet sur le FFBB Store.
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Pour la deuxième année d’affilée, la Fédération Française de BasketBall a battu son record en dépassant les 725 000 licences. Premier sport collectif en salle et premier sport collectif féminin, le basket-ball français démontre une fois de plus toute sa popularité à un peu plus de 100 jours du début des Jeux Olympiques de Paris 2024.
Jean-Pierre Siutat (Président de la Fédération Française de BasketBall) : « A quelques jours de l’ouverture des Jeux de Paris 2024, le basket français établit deux nouveaux records ; je souhaite évoquer celui du nombre de licenciés actifs au sein nos 3.800 clubs (613 000 à comparer au 456 000 de 2010). Nous sommes conscients d’avoir refusé près de 180 000 jeunes ces deux dernières saisons par manque de créneaux et d’encadrement ; le challenge reste entier après les Jeux qui seront un accélérateur extraordinaire pour le sport français. Je remercie l’ensemble des équipes dirigeantes de nos clubs qui sont les maillons essentiels de ces belles performances ».
Évolution du nombre de licenciés depuis 2010 | |
Saison | Nombre de licenciés |
2023-2024 | 725 550* |
2022-2023 | 725 009 |
2021-2022 | 678 482 |
2020-2021 | 514 776 |
2019-2020 | 668 367 |
2018-2019 | 710 970 |
2017-2016 | 681 584 |
2016-2017 | 661 025 |
2015-2016 | 641 367 |
2014-2015 | 600 169 |
2013-2014 | 578 207 |
2012-2013 | 491 271 |
2011-2012 | 468 166 |
2010-2011 | 461 057 |
*saison en cours, nombre non définitif
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Félicitations pour votre sélection aux Jeux-Olympiques de Paris 2024. Comment avez-vous appris la nouvelle ?
J’ai reçu un mail de la FFBB qui m’a transmis le listing de la FIBA. Quand j’ai reçu la nouvelle, j’ai reçu plein de messages avant-même de recevoir la convocation officielle et c’est quand j’ai vu tous ces messages que je me suis douté qu’il se passait quelque-chose puisque j’ai pu consulter mon téléphone qu’à la fin de mon service, j’avais la main dans la pâte jusqu’en début d’après-midi.
Arbitre olympique et travailleuse en boulangerie, comment allie-t-on les deux ?
On s’organise, c’est une vie qui est très millimétrée, ça demande une grande organisation et j’ai la chance de pouvoir allier les deux puisque je travaille en famille. Je travaillais déjà en famille avant mais j’ai dû changer de métier puisque je devais me rendre plus disponible pour officier au niveau international.
Existe-t-il des critères particuliers concernant la sélection des arbitres pour les Jeux Olympiques ?
J’imagine qu’on est jugé avant tout sur la compétence. Au-delà de ça il y a aussi des aspects de représentativité mondiale, entre les FIBA de chaque continent. On reste observé sur toutes nos compétitions, on a la chance aujourd’hui d’avoir un outil informatique qui nous permet d’avoir une meilleure visibilité, et cela contribue à affiner la sélection au cours d’une saison.
Comment s’est passé le processus de sélection ?
C’est le travail de plusieurs années, de régularité qui m’ont permis d’atteindre le très haut-niveau. J’ai eu la chance d’accéder à d’autres compétitions au préalable avec notamment mon premier championnat du monde U17 féminin à Debrecen, puis les U19 en championnat du monde féminin à Madrid, entre temps j’ai pu officier sur des qualifications de championnat du monde et EuroBasket féminins. Dernièrement j’étais au Tournoi de Qualification Olympique en Belgique. C’est un processus qui s’est fait crescendo sur les sélections des différentes compétitions.
Vous êtes sur la liste préliminaire, quelle est la suite de la préparation pour figurer dans la liste définitive ?
Je suis sur une pré-sélection de 40 arbitres, puis à l’issue de deux tournois qui auront lieu entre juin et juillet, 30 arbitres seront retenus. Il n’y a pas de certitude sur ma sélection olympique. Les deux prochains tests seront un tournoi de qualification olympique et un championnat d’Europe U17.
Le fait d’être une arbitre française pour des Jeux Olympiques à domicile, ça doit être quelque chose de spécial ?
Le fait d’être sur une liste potentielle pour aller sur des Jeux-Olympiques c’est juste incroyable. Si on m’avait dit que je serais là où je suis quand j’ai démarré l’arbitrage, j’aurais rigolé ou même pas écouté tellement ça me semblait inaccessible. Ensuite, au fur et à mesure des formations que j’ai suivies et par la concrétisation de certains objectifs, ce qui était de l’inaccessible s’est transformé en rêve et aujourd’hui ce rêve s’est transformé en objectif. Que ce soit en France ça a tout de même une saveur particulière puisqu’il y a la fierté de pouvoir représenter son pays à domicile, mais pour l’instant je ne peux qu’imaginer quelle sensation ce serait en attendant de rejoindre la sélection définitive.
Être sélectionné pour les Jeux-Olympiques, c’est l’aboutissement pour un arbitre ?
Les Jeux-Olympiques restent LA compétition, si l’on demandait à n’importe quel arbitre la compétition qu’il souhaiterait officier, la réponse serait unanime pour les Jeux-Olympiques.
Le tournoi de qualification olympique à Anvers en février était un bon avant-goût pour Paris 2024 ?
C’était génial. J’avais la chance d’être dans un groupe d’arbitres que je connais donc il y avait déjà des affinités avant la compétition. Sur ce type de compétition on a un travail préparatoire avec un certain nombre de visioconférences en amont où l’on travaille avec les collègues pour qu’avant même d’arriver sur le tournoi nous ayons une connaissance du groupe. Nous n’arrivons pas en terre inconnue puisque nous connaissons les équipes, nous faisons du scouting et c’est cet énorme travail préparatoire qui nous permet d’être opérationnel sur la compétition, d’arriver sans pression outre celle de vouloir bien faire. Nous avons vraiment des outils à disposition qui nous permettent d’arriver dans des conditions optimales à ces compétitions de très haut-niveau.
Comment votre entourage a-t-il réagi à votre nomination ?
Mon entourage très proche j’ai voulu leur dire immédiatement puisque je ne voulais pas qu’ils l’apprennent avant par les réseaux sociaux, j’avais envie de leur annoncer de vive voix. Ils m’ont dit qu’ils étaient très fiers, qu’ils n’étaient pas surpris et qu’ils continuaient de me soutenir quel qu’en soit l’issue. Avoir la fierté de mon entourage proche, c’est important et ça n’a pas de prix, si je n’avais pas eu ce soutien-là, je n’aurais pas pu percer là-dedans c’est une certitude. J’ai démarré l’activité et plus l’activité était prenante plus ils ont accepté de me libérer du temps, ils ont aussi accepté de me voir partir vers d’autres projets pour me lancer dans l’arbitrage à 3000% et en faire ma priorité. Aujourd’hui malheureusement, c’est une activité pour laquelle nous sommes indemnisés mais nous n’avons pas de statut professionnel et il faut savoir bien trouver l’équilibre au niveau professionnel pour être capable de bien rebondir si les choses ne se passent pas comme prévu puisque nous n’avons pas de garantie derrière.
Avec deux arbitres français sur ces Jeux Olympiques, peut-on dire que la France est une nation qui compte dans le monde de l’arbitrage ?
C’est certain ! Nous avons la chance d’avoir Yohan Rosso dans nos rangs, qui aujourd’hui est l’exemplarité dans l’arbitrage au niveau européen voire mondial puisqu’il a déjà fait de grandes compétitions où il a su montrer ce qu’était l’excellence de ce que pouvait être un arbitre français sur de très grandes compétitions. Lorsque j’ai démarré le cursus pour pouvoir accéder à l’international, je me rappelle bien de ce qu’il m’avait dit lors de son intervention dans un clinic : « le plus difficile ce n’est pas d’arriver au haut-niveau, c’est d’y rester ». Maintenant que j’ai les pieds dedans, je comprends à quel point ses paroles sont vraies et je le vis en ce moment. On peut faire un très bon match une fois, le plus difficile reste de répéter ces performances avec un niveau d’exigence toujours plus haut pour perdurer dans le temps. Nous avons la chance en France d’avoir une formation de qualité qui nous permet de pouvoir être très bien armé pour performer lors des compétitions internationales. Nous avons également la chance d’avoir un championnat autant masculin que féminin de très haut-niveau, nous sommes plutôt admirés je pense sur la façon de fonctionner en France.
Liste des arbitres français aux Jeux-Olympiques :
Le Comité Directeur de la FFBB, réuni ce vendredi 16 février au siège de la Fédération à Paris, a validé la première version du calendrier général de la saison 2024-2025.
Cliquer ici pour télécharger la première version du calendrier général FFBB de la saison 2024-2025
La période phare des Journées de l’Arbitrage La Poste 2023 vient de se terminer et le succès a été au rendez-vous dans les Comités et les Clubs sur la thématique « Recrutement et Fidélisation » menée depuis deux saisons et qui sera toujours d’actualité en 2024-2025.
73 Comités et Territoires Ultramarins ont participé à l’Opération Recrutement et ce ne sont pas moins de 2000 jeunes qui se sont essayés à l’arbitrage.
La Poste a également fait parvenir un Guide Pédagogique à chaque club pour les aider à mettre en place une formation d’arbitres en interne, que ce soit lors des entraînements ou de journées spécifiques de découverte de l’activité.
Trois vidéos ont pu être réalisées lors des Finales de la Coupe de France 2023 où des femmes arbitres témoignaient de leur expérience et comment les qualités d’arbitres peuvent développer des qualités requises dans la vie professionnelle de nombreux métiers : le travail d’équipe, la communication, ma connaissance des procédures, la stabilité émotionnelle, la rigueur, la gestion du stress, d’un conflit… Comptables, étudiantes, professeures, managers ; toutes parlent de ce lien fort entre le monde arbitral et le monde professionnel.
L’ensemble de ces ressources sont disponible pour les Ligues, les Comités et les Clubs qui souhaitent promouvoir l’arbitrage, particulièrement féminin, et qui ont la volonté de susciter la curiosité chez les licenciés en général pour tenter l’aventure de l’arbitrage.
Lien vers les clips vidéo : https://www.youtube.com/c/FFBBFormation
Quel bilan sportif tires-tu de la compétition ?
C’est forcément une réussite puisqu’on fait notre meilleur résultat historique. On a déjoué tous les pronostics. On n’était pas forcément favori. Je suis très fier des joueurs pour le parcours. Ce qui a été génial durant cette compétition, c’est l’histoire qu’on a racontée. En demi-finale mondiale, on bat enfin la Turquie, notre bête noire. Et en finale, on tient tête aux Etats-Unis, la meilleure nation du monde.
Que penses-tu du nouveau format mis en place par la FIBA cette année ?
La FIBA a l’ambition de faire durer le format sur le long terme et que les gens prennent plaisir à regarder. Le format est bon et très intéressant avec des joueurs qui jouent le jeu et prennent du plaisir. C’est sûr qu’il y a toujours des choses à améliorer, peut-être au niveau du rythme et des horaires. On avait des grosses journées. On devait être sur place à 8h et on rentrait à 23h. Mais à part ça, c’était top.
Les finales mondiales se sont déroulées le week-end du 25 et 26 novembre devant un public à la DreamHack Winter en Suède. Comment était l’organisation sur place ?
Pour une première édition dans ce format-là, c’était vraiment bon, très professionnel. Avec ma double casquette d’organisateurs, je mesure les contraintes auxquelles ils sont confrontées. On a été très bien accueilli et accompagné tout le long des finales. Le staff était disponible à la moindre question.
Comment était l’ambiance dans un des principaux évènements eSport au monde ?
Il faut bien comprendre que nous n’étions pas au même endroit le samedi et le dimanche. Le samedi, on était sur une petite scène. Mais pas mal de gens passaient nous voir parce qu’on était à côté de scènes beaucoup plus importantes. Sur le lieu global, c’est vraiment lors de ce premier jour où il y avait le plus de monde. On a croisé quelques français de la scène eSport qui sont venus nous soutenir de temps en temps. Le dimanche, il y avait moins de monde à l’évènement mais on était sur une grande scène. C’était plutôt sympa. Il y a même des jeunes qui sont venus prendre des photos avec les joueurs en leur demandant s’ils étaient des stars (rires).
Après votre défaite en finale contre les Etats-Unis, on a vu beaucoup de réactions sur place louant vos performances. C’est une belle reconnaissance ?
On a vraiment montré de belles choses et les autres nations ont vraiment respecté notre jeu. En en parlant avec les Américains, ils ont avoué être surpris de notre niveau en final. Pour eux, on aurait même dû remporter le game 1. Ils se sont rendu compte qu’il y avait des talents individuels qui n’étaient pas inférieurs aux leurs. En tant qu’équipe, ils sont encore meilleur parce que leurs conditions de travail est supérieur aux nôtres. C’est indiscutable, mais on leur a montré notre vrai visage.
Sur les réseaux sociaux aussi …
Pas mal de personnes ont analysé les performances des joueurs. Sur les réseaux sociaux, on a vu beaucoup de joueurs, de coach ou de GM de 2K League, comme Claude (Portland Trail Blazers Gaming) ou Fame (Miami Heat CheckGaming) qui ont loué nos performances et qui ont clairement découvert des joueurs. En fait, ils les connaissaient de nom mais là, ils les ont vu face à la sélection américaine, en finale mondiale. Ils se sont rendu compte qu’on pouvait leur tenir tête. Ils ont vu de leurs propres yeux que certains joueurs avaient clairement leur place dans la grande ligue.
Penses-tu qu’un Français, ou plusieurs, pourraient être draftés en NBA 2K League, le 11 janvier prochain, pour la première fois de l’histoire ?
Déjà, c’est la première fois qu’un français a une côte aussi haute, en la personne de Warnocks. On va continuer de se battre pour envoyer le premier français de l’autre côté de l’Atlantique. On a vraiment des signaux positifs donc on a vraiment envie d’y croire.
Le stream des finales mondiales est disponible en replay sur la chaîne Twitch et YouTube de la Fédération Française de BasketBall.
Huit, c’est le chiffre à retenir concernant cette équipe de Saint-Vallier. Il correspond au nombre de victoires de rang des hommes de Philippe Namyst. Après le Havre le week-end dernier, c’était au tour des jeunes joueurs du Pôle France de subir la loi des Dromois.
Saint-Vallier débute la rencontre de la meilleure des manières, dans le sillage d’un Jazzmarr Ferguson très adroit qui inscrit les six premiers points de son équipe, après deux tirs longues distances (8-0, 2’). Dominants dans le premier quart temps, les Rhônalpins prennent logiquement les commandes. Mais les pensionnaires du Pôle France s’accrochent et ne se laissent pas distancer. Mieux encore, ils remportent le second quart temps 19 à 15 pour recoller à six petits points à la pause (41-35, 10'). Au retour des vestiaires, Saint-Vallier a fait la différence pour s’imposer finalement 74-59. Le duo Ferguson / Geu (20 points chacun) aura mis à mal la défense du Pôle France. Si on ajoute à ça les 17 rebonds et les 10 passes décisives de Jérôme Cazenobe, la mission devenait impossible pour les jeunes espoirs malgré le nouveau match très complet de Nolan Traoré (23 points, 9 rebonds et 6 passes pour 29 d’évaluation).
Avec la manière, le club de Saint-Vallier s’empare de la première place dans le groupe B. Contre Besançon vendredi, il voudra poursuivre son incroyable série.
Les statistiques de la rencontre sont disponibles ici.
- Dans quel état d’esprit êtes-vous avant de disputer les grandes finales mondiales de la eFIBA ?
On est très concentré. Après notre qualification, on s’était laissé deux ou trois jours pour redescendre et profiter un peu. Il y avait un double sentiment. Celui d’être satisfait de ce qu’on a montré contre l’Espagne mais aussi beaucoup de regrets après notre prestation ratée face à la Turquie en finale européenne. Mais très vite, depuis presque deux semaines, on se prépare vraiment pour performer en Suède.
- En phase de groupes, vous affronterez d’abord les Etats-Unis, le gros morceau de cette compétition. Comment on aborde un tel match ?
C'est très bien de les affronter en ouverture. On va pouvoir se jauger. En cas de victoires, on enverrait un message fort à toutes les autres équipes. Et en cas de défaites, on aurait encore deux autres rencontres à disputer pour terminer dans les deux premiers de notre groupe. Les Etats-Unis sont clairement favoris pour le titre final. Et ça s’explique en deux points. La sélection américaine a respecté la compétition en envoyant tout simplement leurs meilleurs joueurs. Ils ont un cinq majeur d’élite, composé exclusivement de garçons évoluant en NBA 2K League, la seule ligue professionnelle au monde. C'est aussi une équipe qui a l’habitude de jouer sur scène ensemble. Tout le format américain se joue de cette manière, en physique. Ils ont de l’avance sur ce point et sur toutes les autres équipes. En France, on en a déjà fait, mais beaucoup moins. C’est un gros avantage psychologique pour eux.
- Pour compléter ce groupe A, vous affronterez aussi le Brésil et la Nouvelle-Zélande. A l’instar des Etats-Unis, ce sont des sélections que vous ne connaissez pas, ou très peu. Expliquez-nous cette particularité.
On ne peut pas jouer contre des pays éloignés de l’Europe à cause de problèmes de serveurs. Quand tu te balades d’un serveur à un autre, il y a des lags et les deux équipes ne peuvent pas jouer à niveau équivalent donc ça n’a pas vraiment d’intérêt. En revanche, je suis ravi de ce scénario-là. Ça nous permet de profiter pleinement de l’expérience du championnat du monde en affrontant ces trois équipes de trois serveurs différents. On ne tombe pas tout de suite contre la Turquie ou le Maroc, qui sont dans l’autre groupe et qu’on affronte très régulièrement. Là, on va rencontrer d’autres personnes, d’autres style jeu et c’est ça tout l’intérêt des Worlds.
- Et sans aucun match d’entrainement contre ces nations, comment on se prépare à un évènement comme celui-ci ?
On a eu deux phases de préparation bien distinctes. L’essentiel du travail des joueurs a été de faire du scouting en regardant énormément de vidéos. Par exemple, les Brésiliens, on a analysé l'intégralité de leurs matches depuis le début de la compétition. Comme on ne peut pas les jouer, on doit s’adapter. Ça permet vraiment d’anticiper tactiquement le jeu proposé par nos futurs adversaires. D’un autre côté, on s’est entrainé contre des équipes avec le même serveur que nous. On a travaillé avec des formations européennes en réfléchissant tactiquement aux choses que l’on pourrait mettre en place pour performer contre les nations internationales. On a aussi remis en question certains aspects de notre jeu pour travailler sur nos points forts et nous améliorer en tant qu’équipes.
- Quel est l’objectif de l’Equipe de France dans ces grandes finales mondiales ?
On ne vise rien d’autres que le titre de champion du monde. On ne fait peut-être pas partie des deux grands favoris mais on est une équipe respectée. On n’a pas volé notre qualif, on est avec les huit meilleures nations du monde et à partir de là, on est là pour gagner. Je ne me vois pas dire autre chose aux joueurs de toute façon. On va jouer match après match et on verra où ça nous mène. On n’est pas venu pour faire de la figuration. On veut aller le plus loin possible et pourquoi pas chercher le titre.
- Les finales se jouent pour la première fois en LAN, sur scène et devant du public. C’est quelque chose qui rajoute forcément une petite pression supplémentaire ?
Nos cinq joueurs français ont déjà joué sur scène, au moins une fois. Ils ont joué la LAN du championnat de France en disputant des matches à gros enjeux devant 200 personnes et avec les adversaires juste à côté. En Suède, pour ces finales, ce sera plus, mais ils ont déjà cette petite expérience. Il y a des émotions qu’ils ont déjà ressenties. C'est un petit plus pour nous.
Retrouvez toutes les informations sur les finales directement sur le site de la eFIBA et suivez l'intégralité des rencontres de l'Equipe de France 2K en direct sur les chaîne Twitch et YouTube de la Fédération Française de Basketball.
Pas de surprise dans le roster choisi par Max LCT. Le sélectionneur, qui a pris les rênes de l’Equipe de France en septembre dernier, a logiquement sélectionné les cinq joueurs qui se sont illustrés ensemble depuis plusieurs semaines : Breaker, Zincs, Warnocks, Destiny et Mamba.
Une équipe qui se connait par cœur après avoir réalisé d’incroyables performances sur le chemin des qualifications pour les Worlds. Elle sera accompagnée du capitaine, Milso, qui jouera un rôle de coach durant toutes les finales mondiales.
Les statistiques moyennes joueur par joueur depuis le début de la compétition
Les grandes finales mondiales se dérouleront ce week-end en Suède, à l'occasion de la DreamHack Winter, un des principaux festival de eSport du monde. Dans la poule A, la France affrontera, le samedi 25 novembre, les Etats-Unis, la Nouvelle-Zélande et le Brésil. Les phases finales et les matches de classement se dérouleront le dimanche 26 novembre. En demi-finale, le leader de la poule A affrontera le deuxième de la poule B, et inversement. Après les phases de groupe, toutes les rencontres se joueront au meilleur des trois matches (BO3).
Le programme des matches de l’Equipe de France
Poule A - Samedi 25 novembre
12h15 : France - USA
14h30 : France - Nouvelle-Zélande
16h30 : France – Brésil
« Pour le jeu, passe en mode arbitre », voici le leitmotiv choisi par La Poste pour les Journées de l’arbitrage 2023, visant principalement un public jeune. A travers son programme Tous Arbitres, elle a mis en lumière les arbitres élites comme amateurs au service du football, du rugby, du handball et du basketball. Aujourd’hui confrontée aux problématiques du déficit de candidats à l’arbitrage ou le désengagement prématuré de nombreux arbitres, la Fédération Française de BasketBall a poursuivi son engagement dans la valorisation de la fonction arbitrale.
Le coup d’envoi des JNA a été donné le 10 octobre dernier à Issy-les-Moulineaux, à l’occasion d’une opération pédagogique auprès d’une centaine de collégiens. En compagnie de Céline Dumerc (ambassadrice basket) et Yohan Rosso (arbitre international), les adolescents ont pu échanger et s’initier à l’arbitrage à travers des quiz et des mises en pratique en situation de match. « Le monde de l’arbitrage est en plein développement mais aussi en pleine recherche », souligne Ebénézaire Larochel, jeune arbitre de 18 ans présent pour l’occasion. « Ces journées sont très importantes pour donner envie aux jeunes de se lancer dans l’aventure. Ça peut faire peur au début. Mais au fil des années, on prend de l’expérience et ça devient une véritable passion ».
Le lendemain (11 octobre), l’édition 2023 des Journées de l’arbitrage a été lancée institutionnellement, au Musée de la Poste à Paris. Avec la présence de personnalités comme la Ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra ou le PDG du Groupe La Poste Philippe Wahl, les premiers Trophées Tous Arbitres ont été remis lors de cette cérémonie. Des récompenses qui mettent en lumière les personnes travaillant sur le développement de l’arbitrage au niveau local et amateur. Côté Basket, le trophée de la personnalité locale de l’année est attribué à Mathilde Grossias, arbitre et entraineuse d’équipes jeunes en Vendée, pour la création d’une école d’arbitrage au sein de son club. Elle y fait intervenir régulièrement des arbitres de haut niveau et participe ainsi à la valorisation de la fonction arbitrale. Le trophée de la meilleure initiative locale de l’année revient quant à lui à Patrick Rezaire, président de la Commission Départementale des Officiels (CDO) au Comité du Doubs, pour son projet de restructuration de l‘arbitrage sur le territoire. Depuis son lancement en 2017, on décompte quatre écoles d’arbitrage et plus de 30 arbitres officiels.
Un guide pédagogique a été distribué dans la foulée aux 3 800 clubs amateurs. Il permet d'aider les clubs à sensibiliser les jeunes licenciés à l’arbitrage. Chaque club a reçu ce guide par courrier qui fait partie d’un kit matériel pour faciliter la mise en œuvre d’ateliers de sensibilisation à l’arbitrage avec : 1 sifflet, 1 tour de cou et 1 chasuble. Les JNA ont été ensuite mises à l’honneur sur 24 matches professionnels entre le 13 et le 31 octobre. Un protocole spécial a été instauré en Betclic ELITE, PRO B et LFB. L’organisation de ce protocole est une belle opportunité pour mobiliser l’ensemble des acteurs du sport et sensibiliser tous les publics autour du recrutement et de la fidélisation des arbitres. La fonction arbitrale est ainsi valorisée auprès des spectateurs et téléspectateurs. En parallèle, des opérations de recrutement auprès de 73 Comités départementaux ont également été menées entre le 21 octobre et le 4 novembre dernier. Au total, près de 120 opérations "recrutement" ont été organisées dans toute la France. On se donne rendez-vous en 2024 pour une nouvelle édition ! Toutes les informations sur les Journées de l’arbitrage La Poste sont à suivre sur ffbb.com et tousarbitres.fr
« En tant que promu, si on nous avait dit avant la saison qu’on serait à trois victoires pour deux défaites après cinq rencontres, on aurait signé tout de suite », clame le coach de Voiron Quentin Buffard, satisfait des débuts de son équipe. Onze ans après, le club isérois a enfin retrouvé la LF2 cette année. Et pour l’instant, il n’y fait pas figuration et joue les yeux dans les yeux avec toutes les équipes de la division. « Forcément, on est dans la continuité du travail qui a été fait l’an dernier. On a surfé sur cette dynamique de montée, notamment en remportant nos deux premières rencontres », poursuit-il. « On s’est mis tout de suite au niveau de cette Ligue 2, avec un groupe qui a envie d’avancer ensemble et qui veut faire les choses bien. Ça facilite beaucoup de choses ».
Si Quentin Buffard se réjouit du début de saison de ses joueuses, il reste conscient qu’il faudra encore beaucoup de travail pour performer sur le long terme dans cette division si dense. « En tant qu’entraîneur, on n’est jamais satisfait à 100% », plaisante-t-il. « Sur le plan offensif, on partage bien le ballon mais on manque encore d’efficacité. En défense, avec un peu plus de précisions, on peut encore s’améliorer. Il faut surtout qu’on progresse sur notre constance. On est capable de faire de très bon passages mais de retomber ensuite dans nos travers et passer totalement à côté d’un quart-temps ». Le déplacement à la Tronche-Meylan, le 21 octobre dernier, en est le parfait exemple. A la pause, aucune équipe n’était parvenue à prendre l’ascendant sur l’autre (30-30, 20’). Et dans le troisième acte, Voiron s’est totalement écroulé en s’inclinant 26-9, sur cet unique quart-temps. Une rencontre qu’il perdra finalement 66-45. « On doit être performant sur toute la longueur d’un match et éviter ces passages à vide. C’est un de nos principaux axes de progression. »
Durant l’intersaison, le club avait frappé un grand coup en s’offrant les services d’Alexa Middleton, MVP de LF2 avec Feytiat lors de l’exercice 2022-2023. Blessée durant l’intersaison, elle n’est, aujourd’hui, pas encore revenue à son meilleur niveau. Cette saison, elle tourne à 7.8 points de moyenne par match, contre 19 l’an dernier. « Alexa a été arrêtée huit semaines cet été et n’a pas vraiment pris part à notre préparation », explique Quentin Buffard. « Quand une nouvelle joueuse arrive d’un nouveau club et qu’elle ne peut pas faire la préparation, c’est difficile de créer des automatismes. Mais d’un côté, on peut en tirer du positif. Malgré une Alexa amoindrie, on gagne quand même des matches et le collectif fonctionne très bien. On voit que d’autres joueuses sont capables de prendre le relais. C’est très important de ne pas se reposer sur une seule joueuse ».
Avec un retour d’Alexa Middleton à son meilleur niveau dans les mois à venir, Voiron pourrait être la belle surprise de cette saison 2023-2024 de LF2.
Entre attaque de feu et défense de fer, Villeneuve d’Ascq ne pouvait pas rêver meilleur départ. Après six rencontres, le club nordiste, toujours invaincu, s’impose comme un candidat très sérieux pour le titre. « Notre début de saison est très positif avec des joueuses très ambitieuses », se satisfait le coach Rachid Meziane. « On est dans la continuité de la saison dernière. En conservant une bonne partie des joueuses à l’intersaison, on a pris une longueur d’avance. Dans les connections et les associations, on a gagné du temps dans notre préparation. Cet été, on s’est ajusté en rajoutant seulement quelques profils qui nous manquaient ».
Tous les voyants sont au vert pour les finalistes 2022-2023. En inscrivant 82.8 points par match, Villeneuve d’Ascq est, de loin, la meilleure attaque de la division. Mais le plus important, c’est que le danger puisse venir de partout, avec cinq joueuses scorant plus de 10 points par rencontre (Burke 16.7, Salaun 12, Smalls 12, Diaby 11 et Zellous 10.5). « C’est précisément comme ça que j’ai construit l’équipe », poursuit le technicien de 43 ans. « J’ai voulu faire en sorte que les responsabilités et le scoring soit partagés. Si on fait un all in sur une joueuse et qu’elle passe à côté sur un match, c’est compliqué et c’est un vrai risque pris, surtout quand on a l’ambition d’aller très loin ». Mais c’est bien sur le plan défensif que l’équipe a vraiment progressé. En ce début de saison, l’équipe de Rachid Meziane encaisse seulement 61.7 points par rencontre, contre 68.5 l’an passé. Pour l’instant, seul Basket Landes fait mieux. « La présence défensive, on l’a mise en place depuis trois ans. C’est tout simplement ce qui nous fait gagner. C’est sur ce point-là que je vais chercher des certitudes. La partie offensive est satisfaisante mais il y a un facteur aléatoire que l'on ne contrôle pas ». Une identité défensive que les joueuses espèrent conserver d’ici la fin de la saison.
Malgré cette entame tonitruante, Rachid Meziane reste prudent en expliquant que la saison est encore très longue et que le championnat de France fait partie « des plus coriaces d’Europe ». Il admet aussi que son équipe a encore une marge de progression, notamment sur un point très précis : la gestion émotionnelle. « L’an dernier, il y a eu quelques situations où on a perdu pied, perdu le fil des rencontres. Ça nous a couté cher sur la fin . Sur les grands matches, il faut qu’on arrive à faire preuve de stabilité », conclue-t-il. « L’Euroleague, que l’on n’avait pas l’an dernier, va clairement nous servir. Cette expérience doit nous permettre de grandir encore, de monter en compétences et de murir ».
Emmenées par une Nancy Fora omniprésente (13 points, 8 rebonds, 5 passes et 4 interceptions), les Tarbaises ont rapidement pris les commandes de la rencontre pour compter jusqu’à 17 points d’avance au début du deuxième quart-temps. Les coéquipières de Marie Paule Foppossi (22 points et 9 rebonds) géraient la rencontre avant de baisser de pied en fin de match et de se faire peur dans le dernier quart-temps. Amy Okonkwo (20 points et 10 rebonds) allumait d’abord la mèche à 3 points à huit minutes de la fin de la rencontre, puis Barahman (9 points dans le dernier quart), inarrêtable, dynamitait la défense Tarbaise pour ramener les siennes à deux points en deux minutes, 59-61. Mais Isabelle Yacoubou (8 points, 8 rebonds et 3 passes) faisait parler son expérience dans la raquette pour stopper l’hémorragie et Foppossi et Fora terminaient le travail. Score final : 63-68.
La crise se prolonge dans le Finistère avec toujours aucune victoire au compteur cette saison.
Ligue Féminine - Journée 6
Vendredi 27 octobre
Landerneau - Tarbes / 63-68 - YouTube FFBB
Samedi 28 octobre
Villeneuve d'Ascq - Charleville-Mézières / 19h00 - SKWEEK
Lyon - Bourges / 20h00 - Sport en France & YouTube FFBB
Dimanche 29 octobre
Basket Landes - Lattes Montpellier / 15h15 - YouTube FFBB
Charnay - Angers / 15h30 - YouTube FFBB
Saint-Amand - Roche Vendée / 15h30 - YouTube FFBB
Une semaine après leur brillante qualification en poule haute des qualifiers Europe, l’Equipe de France 2K affrontait, ce mardi soir, cinq formations du Top 12 européen. Le sélectionneur Maxime LCT a logiquement reconduit le cinq majeur qui avait performé lors de la dernière phase de qualification européenne, à savoir Breaker, Warnocks, Zincs, Destin et Mamba.
Pour ouvrir le bal, les Bleus ont livré un formidable spectacle contre une « dangereuse équipe de Belgique qui n’a jamais été aussi forte », selon les dires de Maxime LCT. Mais dans le sillage d’un Warnocks intenable (22 points, 4 passes et 8 interceptions), l’Equipe de France n’a pas tremblé et s’est largement imposée 71-46. Ce fut beaucoup plus compliqué contre la Grande Bretagne. Dans un match plus défensif, les Français se sont fait peur en première mi-temps mais ont réussi à renverser la vapeur grâce à un second acte bien plus maitrisé (49-41). Même scénario contre la Finlande avec une victoire finale des Tricolores 58-41, tout en gestion.
Arrivait alors le "main event" de cette soirée, le match que tout le monde attendait contre la Turquie, invaincue depuis le début de la compétition et favorite de la conférence européenne. Une formation qui avait également éliminée les Français la saison dernière en finale sur un tir au buzzer venu d’ailleurs. Un scénario que personne ne voulait revivre. Et pourtant. Après une rencontre qui a tenue toute ses promesses, les pertes de balles, trop nombreuses, auront eu raison de la bande à Breaker qui s’inclinera dans le money time sur un tir à trois points exceptionnel à 4 secondes du terme (36-37). Pour terminer la soirée, les Français ont facilement battu Israël 71-54, petit poucet de ce Top 12 européen.
Grâce à ses performances du soir, l'Equipe de France se place pour l'instant à la troisième place continentale et aura un seul objectif en tête mardi 31 octobre prochain : terminer dans le Top 5 pour disputer les grandes finales européennes le jeudi 9 novembre prochain.
Les réactions du sélectionneur Maxime Lecat
"Il va falloir faire le bilan rapidement mais je ne suis pas catastrophé. On est évidement déçu de prendre un game winner de la sorte mais on est encore dans les clous. Contre la Turquie, on a couru après le score une bonne partie du match. On a raté les shoots importants alors qu'eux, les ont mis. Ils ont surement pris un peu le dessus mentalement en étant plus tueurs que nous. Je ne veux pas faire de l'optimisme à outrance mais je vois qu'on est la seule équipe à avoir emmené la Turquie à ce stade là du match. Donc ca reste très positif. La balle reste entre nos mains la semaine prochaine"
Comment fonctionne la Coupe de France 3x3 Entreprises ?
La Coupe de France 3x3 entreprise est divisée en 3 phases : départementale, régionale (entre octobre et avril) et nationale
La finale nationale prenda la forme d'une tournoi, qui se déroulera les 10, 11 et 12 mai 2024 à Lille.
Les conditions pour participer sont :
1 – Constituer son équipe entre collègues d'une même entreprise
2 – Être en possession d’une licence 5x5 ou prendre un Pass/licence 3x3
3 – Avoir un profil le site "play fiba 3x3"
Inscriptions :
Pour inscrire une équipe, il suffira ensuite de se rapprocher d'un comité départemental ou d'une Ligue Régionale, organisatrices des différents tournois qui auront lieu partout sur le territoire.
Pour plus d’informations, contacter : 3x3@ffbb.com ou le 01.53.94.27.63
Jean Galle était né le 17 mars 1936 à Calais. Joueur au BAC Calais, il devient entraineur à la fin des années 1960. Quand il arrive à l’AS Berck, avec son frère Pierre sur le terrain (voir photo), s’ouvre la période dorée du club (accession à l’élite, titres nationaux en 1973 et 1974, demi-finale de Coupe d’Europe des Champions en 1974 et 1975). Il fut une figure parmi les entraineurs du championnat de France pendant des décennies, à Caen, Cholet, Mulhouse, Vichy ou Gravelines. Il fut d’ailleurs élu entraîneur de l’année en 1988. Sa capacité à mener les hommes et à faire évoluer les techniques d’entrainement et de coaching a ainsi été saluée. Il a également entraîné l’Équipe de France au milieu des années 1980. Il était une grande figure du coaching et plus largement une grande figure du basket français.
La Fédération Française de BasketBall tient à présenter à sa famille et ses proches ses plus sincères condoléances.
Palmares
Championnat de France 1973 et 1974 avec Berck
Finaliste du championnat de France 1988
Finaliste du tournoi des As 1988, 1989
Entraîneur de l'année 1988
Parcours
1957-1966 : Joueur-entraîneur au BAC Calais, US Dunkerque, Grand-Fort-Philippe
1967-1976 : AS Berck (Nationale 1)
1976-1981 : Caen BC (Nationale 1)
1981-1983 : Mulhouse (Nationale 1)
1983-1987 : Vichy (Nationale 1)
1985-1988 : Équipe de France
1987-1989 : Cholet Basket (N 1 A)
1989-1995 : Gravelines (N 1 A et Pro A)
1995-1997 : Cholet Basket (Pro A)
Juste avant le coup d'envoi de la rencontre France-Venezuela, la FFBB et Orléans Métropole ont signé une convention pour 2023 et 2024, portant sur l'accueil d'événements 5X5 pendant deux années, avec notamment la venue de l'Equipe de France. Une signature en présence de Jean-Pierre Siutat (Président de la FFBB), Thomas Renault (vice-président en charge des sports à la Métropole d'Orléans), et Boris Diaw (General Manager de l'Equipe de France masculine).
Signature d'une convention ce lundi avec @metro_orleans sur 2 ans pour l'accueil d'événements 5X5
— Fédération Française de BasketBall (@ffbasketball) August 7, 2023
La réception de @FRABasketball en 2023 et 2024#FFBB @jpsiutat @ThomasRenaultOF @theborisdiaw pic.twitter.com/jvVzMHVtsN
La Commission Fédérale 5x5 a conscience du contexte économique actuel et l’a donc pris en compte dans la constitution des poules tout en conservant une vision globale visant à conserver tout l’intérêt des Championnats de France.
CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AU CALENDRIER NF3 2023/2024
Le calendrier NF3 2023/2024 est d'ores et déjà disponible sur FBI.
Le calendrier général de la saison 2023-2024 est téléchargeable sur le site internet : http://www.ffbb.com/ffbb/calendriers
La NBA (National Basketball Association), la Fédération Française de BasketBall (FFBB) et l’Union Nationale du Sport Scolaire (UNSS) ont à nouveau organisé en 2023 la Jr. NBA League FFBB UNSS. Ils étaient accompagnés dans l’organisation par le club du SMUC Marseille, le Comité des Bouches-du-Rhône et la Ligue Régionale Sud de BasketBall.
Les résultats des finales de l’édition 2023 de la Jr. NBA League FFBB UNSS
Demi-finale 1 : Detroit Pistons (Collège Raspail - Carpentras) 9 // Boston Celtics (Collège Brunet - Avignon) 15
Demi-finale 2 : Oklahoma City Thunder (Collège François Mitterrand – Simiane-Collongue) 23 // Los Angeles Clippers (Collège Thiers - Marseille) 9
Match pour la 3ème place : Los Angeles Clippers (Collège Thiers - Marseille) 4 // Detroit Pistons (Collège Raspail - Carpentras) 25
Finale : Boston Celtics (Collège Brunet - Avignon) 24 // Oklahoma City Thunder (Collège François Mitterrand – Simiane-Collongue) 11
A propos du programme Jr. NBA
La Jr. NBA est le programme de basket-ball mondial de la ligue NBA destiné aux jeunes, garçons et aux filles, pour enseigner les compétences fondamentales et les valeurs essentielles du jeu - le travail d'équipe, le respect, la détermination et le vivre ensemble - dans le but de contribuer à la croissance et à l'amélioration de l'expérience du basket-ball pour les joueurs, les entraîneurs et les parents.
Pour s’inscrire, merci d’envoyer un mail avec nom et prénom à l’adresse nbaparis@ffbb.com.
Depuis 2021, la FFBB s’est liée à HelloAsso, la première plateforme numérique gratuite dédiée aux associations ! Cette collaboration permet à tous les clubs de pouvoir proposer le paiement en ligne par carte bancaire de toutes leurs activités gratuitement et simplement. Ce partenariat se concrétise depuis 2 ans notamment par la connexion entre HelloAsso et FBI. Cette connexion entre la solution de paiement HelloAsso et l'outil de gestion des licences de la FFBB permet à tous les clubs de proposer le paiement en ligne à tous leurs licenciés.
Plus de 570 clubs étaient déjà inscrits sur HelloAsso et utilisaient les outils de paiement en ligne avant la mise en place de ce partenariat. En mai 2023, ils sont presque 3 700 à être inscrits sur HelloAsso et 44 % d’entre eux ont déjà récolté au moins 1 paiement grâce aux outils HelloAsso, c’est-à-dire plus de 1 600 clubs !
"Cette connexion a été un véritable gain de temps pour le club puisque le nombre de permanences habituelles pour la gestion des licences a été considérablement réduit. De plus, cela nous permet d’avoir un suivi en temps réel des renouvellements de licences. D’un point de vue comptable et de trésorerie, cela fait également beaucoup moins de paiements et de transactions à gérer, ce qui est aussi un plus en terme de gestion."
Retrouvez l'interview complète du Vendée Challans Basket ou ici
Pour les licences, mais pas seulement !
Le partenariat entre la FFBB et HelloAsso a pour objectif de faire gagner du temps aux bénévoles qui gèrent la prise de licences dans leurs clubs en début de saison mais aussi de simplifier la relation entre les licenciés et leurs clubs lors de cette période dense. Mais ce n’est pas le seul avantage de cette collaboration !
Tout au long de la saison, les clubs, mais aussi les ligues et les comités, utilisent et peuvent utiliser l’ensemble des outils de paiement HelloAsso gratuitement. La billetterie pour les entrées des matchs, les inscriptions aux tournois, aux camps de vacances, aux formations, aux événements conviviaux, à des tombolas en ligne,... La boutique pour créer la vitrine du club avec les équipements à son effigie (sweats, tee shirts, gourdes, chaussettes, etc.) ou pour créer des ventes éphémères lors de la saison des calendriers ou des chocolats par exemple. Les structures affiliées peuvent créer un nombre illimité de campagnes et les personnaliser à leur image.
"HelloAsso est simple d’utilisation, et surtout très pratique ! C’est un gain de temps pour nous en tant que club sportif, mais également pour nos licenciés. Avec HelloAsso, on est certain d’avoir le paiement à une date fixe !"
Retrouvez l'interview complète du Basket Club Aizenay ici
Avec HelloAsso, simplifiez la gestion de vos activités d’été et anticipez votre rentrée sportive !
En 2018, le Club des Internationaux t’avait remis une bourse*, que retenez-vous de ce moment ?
C’était y’a longtemps, je ne vous cache pas que je ne me souviens pas trop. Ce que je me rappelle c’est que c’était à un match où j’étais blessée, j’étais donc contente de recevoir du soutien à ce moment-là. Cela m’a fait franchement plaisir. J’ai trouvé ça vraiment bien que le Club des Internationaux soutienne les jeunes joueurs. C’est gratifiant au-delà de l’argent de voir que des gens se sont intéressés à moi. L’argent à ce moment-là n’était pas une priorité pour moi, je n’avais pas vraiment de charge à cette époque, je pense vraiment que c’est le geste qui m’a touché. Quand je voyais d’autres filles recevoir ça, je trouvais ça vraiment bien qu’il y ait cette entraide envers les jeunes.
Pensez-vous que cela crée un lien entre les générations ?
Oui complètement, cette transmission entre les anciens et les jeunes ça crée un lien. Mon chèque m’a été remis par Alain Vincent, un monsieur que je voyais souvent au match de l’ASVEL garçons. Et aujourd’hui, quand je le recroise, il y a toujours ce lien entre nous. C’est un plaisir de le voir. Plus que la transmission d’argent, c’est ce lien qui a été créé et c’est vraiment ça qui est cool. On rentre ainsi un peu dans la même famille.
Tu véritablement rentrée dans cette famille le 10 février 2022 lors de ta première sélection avec l’Equipe de France A face au Mali. Comment as-tu vécu ce moment ?
J’avais déjà été partenaire d’entrainement, mais en fait ce n’est pas la première sélection qui m’a marqué en tant que telle c’est un peu avant quand j’ai su que je faisais partie de l’équipe. Avant l’annonce de la sélection c’est tellement de stress, c’est vraiment super stressant. C’est au moment de l’annonce que j’ai vraiment ressenti de la fierté. Je me suis ça y est, je suis dans l’équipe. Après je suis une personne qui reste toujours sérieuse, je sais que ce n’est jamais une finalité d’être dans l’équipe. Il faut que je continue à apporter, ce que je peux apporter à l’équipe. Je dirai qu’au moment de ma première sélection, j’étais assez détendue. J’aime bien être dans la joie et je pense que je n’ai pas eu de stress particulier car j’étais tellement dans l’admiration et l’euphorie que je ne me mettais pas de pression. J’étais vraiment heureuse d’être là.
Comment s’est passé le match pour vous ?
Je suis rentré au deuxième quart-temps, j’étais dans l’euphorie malgré l’enjeu important qui planait sur ce match (qualification à la Coupe du Monde). Je m’étais préparée à avoir un rôle avec un temps de jeu réduit (3 minutes) mais j’étais heureuse de pouvoir apporter ce que je pouvais que ce soit sur le banc ou sur le terrain. Comme c’était le début, je n’étais pas encore entrée dans cette cohésion de groupe. Cela est allé très vite, mais c’est quand même une belle expérience, une belle découverte. C’est vrai que ce n’était pas facile mais du fait que c’était ma première sélection j’ai vécu ce match d’une manière différente.
Vous avez dû attendre votre troisième match avec les Bleues pour marquer vos premiers points, c’était contre la Chine, qu’avez-vous ressenti ?
C’est bizarre sur le coup car on perd le match (70-103) mais je reste tout le temps prête. C’est toujours une opportunité de rentrer, de pouvoir découvrir un autre style de jeu. Au moment où j’ai marqué mes premiers points, nous étions dans une bonne dynamique, nous faisions une bonne fin de match malgré l’écart important. C’est très difficile de savoir ce que je ressentais, car sur le terrain je suis concentré que je ne laisse pas trop mes émotions s’exprimer. C’est plutôt après le match que j’ai réalisé ce que j’ai fait. C’est bien pour un premier tournoi de mettre ses premiers points. C’est toujours une fierté.
Qu’est-ce qui vous a marqué lors de la Coupe du Monde, qui était votre première grande compétition avec les A ?
Ce qui m’a le plus marqué, c’est que le haut niveau ce sont des détails. Avec les bases du basket, on peut faire de grandes choses. Maitriser les bases est la plus grande force. J’ai vu que les grandes joueuses ou les joueuses qui performaient maitrisaient bien les bases.
Vous êtes désormais installée en Équipe de France ?
J’ai vraiment la vision que l’Équipe de France est quelque chose qui n’appartient à personne, qui appartient à la France. Donc s’installer ce n’est pas le mot je dirai que j’ai été appelée plusieurs fois depuis et c’est vrai. Je ne suis plus une nouvelle, mais je suis toujours une jeune joueuse qui doit encore apprendre. Hier, j’étais en Équipe de France, demain, on verra bien comment ça sera.
Vous avez retrouvé en Équipe de France des joueuses, comme Marine Fauthoux et Iliana Rupert que vous avez côtoyées en jeunes, est-ce plus facile pour s’intégrer ?
Il y avait Marine et Iliana mais aussi Alexia Chartereau (compagne de Valentin Chery, frère de Kendra) qui est désormais une personne de ma famille maintenant. Donc c’était vraiment un tout. Dans l’équipe je m’entends bien avec plusieurs filles, et en plus des filles de ma génération permet d’être plus à l’aise. Quand ce sont des joueuses que l’on apprécie c’est toujours mieux.
*Les bourses
Le Club des internationaux de basket, en collaboration avec la FISF, offre des bourses à de jeunes espoirs qui méritent notre soutien. 1 à 2 bourses par an, d’une somme de 600 euros, chacune
Les candidatures doivent être recommandées par un membre du Club qui transmet Nicole Pierre-Sanchez qui répondra aux questions et adressera le dossier.
Nicole Pierre-Sanchez : 06 71 90 12 24 - sanchez29@orange.fr
Secteurs | Finalistes |
Alpes | Juliette MONTEZ |
Nathan CAIDO | |
Alsace | Luna WURSTER |
Jamil MOKBI | |
Aquitaine | Orianna GAYON |
Aaron AKEHURST | |
Pays de la Loire | Coline REMIGEREAU |
Lilian GUILLEUX | |
Auvergne | Alix FAVE |
Cian GEORGES | |
Bourgogne | Noemie GONCALVES |
Thomas LEGRIS | |
Bretagne | Kimberly KANAYAN N'SIMBA |
Nathan LANDAIS | |
Centre | Léa DEPLAIX |
Jeremy FAYE | |
Champagne Ardenne | Sarah RANGGEH |
Louis MIGNATON | |
Côte d'Azur | Manon JEDBANI |
Sasha DIDELOT | |
Nord / Pas de Calais | Zoé DORP |
Amine BENHAMIDA | |
Franche-Comté | Lilou GUERRA HILL |
Céleste PLADYS | |
Languedoc-Roussillon | Maïna MARTICHE |
Aylan CHIKKI | |
Limousin | Océane GIRY |
Mathieu CHABROL | |
Lorraine | Anais GOCEL |
Noam KLIPPEL | |
Lyonnais | Maëlys VIEIRA ROSA |
Alexis DAUDEL | |
Haute-Normandie | Apolline LEPLAT |
Noa LEMENUEL | |
Basse-Normandie | Allyson BOKRA |
Liham ELEKA | |
Ile-de-France | Emmie BLANCHOT |
Wadal KAMOUGUE | |
Picardie | Louane DELBAMT |
Lorys DERAMBURE | |
Poitou-Charentes | Auxane NEUILLY |
Antonin MARTINEAU | |
Provence | Sofia ALLEMAND |
Dorian ROUX | |
Pyrénées | Lucie BARREJOT-DAUBA |
Léo HOURNE-RAUBET | |
Corse | Loane HERROU |
Noam DYREIT-DONNEN | |
Polynésie | Vaea AUMERAN |
Tahitoa LUCAS | |
Nouvelle-Calédonie | Yoannie CHACUN |
Novak NGUYEN | |
Guyane | Eloann EGALGI |
Leïann ELFORT THIAM | |
Réunion | Emma BARRET |
Charlie ORLANDO | |
Mayotte | Tanisha MADI |
Madi HOUMADI | |
Guadeloupe | Kanelle HODIN |
Axel MADO | |
Martinique | Eva FERCOT |
Raphael ROBINOT |
Depuis de plusieurs années, la Fédération s’engage pour permettre à plus de femmes de pratiquer le basket mais également de prendre des responsabilités en dehors du terrain. En effet, dans une enquête réalisée par la FFBB en 2018, 32% des femmes dirigeantes déclaraient être victimes de sexisme dans leurs fonctions. Afin de lutter contre ce phénomène, mais également de préparer la mise en œuvre de la parité dans les instances dirigeantes , la FFBB a lancé son programme « Dirigeantes 2024 ».
Ce sont déjà 40 femmes accompagnées au niveau national tout au long de l’année afin de leur permettre d’accéder à des postes à responsabilités. Au niveau local, après les ligues régionales du Grand Est et de Nouvelle-Calédonie qui ont déjà lancé leur déclinaison, les ligues de Bretagne et d'Occitanie vont se lancer dans cette aventue. Ce mardi 7 mars, une trentaine de structures ont participé au 1er Comité de Pilotage de la Déclinaison Territoriale de Dirigeantes 2024 ce qui laisse présager la création de nouvelles initiatives locales.
Afin de valoriser toutes les actions en faveur de la féminisation de notre sport, les Trophées Femmes sur tous les terrains ont évolué et permettent désormais à des structures qui s’engagent à développer la pratique sportive des femmes ou leurs prises de responsabilités d'être récompensées.
La Fédération travaille au développement d’un baromètre de la mixité afin de relever les statistiques clés de la féminisation de nos activités destiné à nourrir la réflexion de nos différentes instances et enrichir leurs actions
Enfin, les enjeux de la pratique en mixité étant de plus en plus d’actualité, la Fédération a mené une expérimentation sur une pratique de 3x3 en mixité avec Play International, le laboratoire LVIS et trois clubs franciliens Stade Multisports Montrouge (92), Cosm Arcueil (94) et The Phoenix Academy (93).
Pour plus d’informations sur le plan de féminisation de la Fédération, vous pouvez écrire à citoyenne@ffbb.com
La page FFBB Citoyen de la FFBB : http://www.ffbb.com/ffbb/programme-ffbb-citoyen
Après avoir remporté une médaille de bronze à la Coupe du Monde 2019, une médaille d’argent aux Jeux Olympiques de Tokyo 2020 et une médaille d’argent à l’EuroBasket 2022, les Bleus ont assuré, dès la fenêtre de novembre dernier, leur qualification à la Coupe du Monde 2023, organisée en Indonésie, au Japon et aux Philippines du 25 août au 10 septembre 2023. Avant de disputer la dernière rencontre de qualification face à la Lituanie à l’Arena Loire de Trélazé, la Fédération Française de BasketBall a dévoilé le programme de préparation à la Coupe du Monde 2023.
Les Bleus seront réunis en stage à partir du lundi 24 juillet à Pau. Après un premier match face à la Tunisie le jeudi 27 juillet au Palais des Sports (7 200 spectateurs), les Tricolores se rendront à la Sud de France Arena de Montpellier (8 500 spectateurs) pour y affronter, le mercredi 2 août, le Monténégro. Les joueurs de Vincent Collet termineront leur préparation, en France, par deux rencontres (Lundi 7 et mercredi 9 août) face au Vénézuéla puis la Lituanie à la Co’Met Arena d’Orléans. Inaugurée en janvier, la nouvelle salle de 10 000 places, promet une très belle expérience. Les Français se rendront ensuite en Lituanie pour jouer leur 5e rencontre de préparation, le vendredi 11 août. L’Équipe de France s’envolera ensuite vers l’Asie, le lundi 14 août, afin de disputer un dernier tournoi de préparation (lieu à déterminer), avant la Coupe du Monde.
Date |
Match |
Lieu |
Jeudi 27 juillet 2023 |
France-Tunisie |
Pau – Palais des Sports |
Mercredi 2 août 2023 |
France- Monténégro |
Montpellier – Sud de France Arena |
Lundi 7 août 2023 |
France-Vénézuéla |
Orléans – Co’Met Arena |
Mercredi 9 août 2023 |
France-Lituanie |
Orléans – Co’Met Arena |
Vendredi 11 août 2023 |
Lituanie-France |
Lituanie |
Avant la Coupe du Monde |
1 à 2 rencontres internationales |
Lieu à déterminer |
*Les horaires des rencontres seront annoncés dès les retours du ou des diffuseurs TV.
Infos billetterie :
Les billetteries ouvriront dans le courant du mois de mars. Pour être informé de l’ouverture de chaque billetterie, il est possible de s’inscrire à l’alerting en ligne sur https://billetterie.ffbb.com/ dès aujourd’hui.
Tirage au sort de la Coupe du Monde 2023 :
La Coupe du Monde 2023 se déroulera du 25 août au 10 septembre 2023 en Indonésie, au Japon et aux Philippines. Le tirage au sort aura lieu le samedi 29 avril 2023 à Manille (Philippines).
Jean-Pierre Siutat (président de la Fédération Française de BasketBall) : « L’ambition de la FFBB est toujours la même ; placer les joueurs et le staff dans les meilleures conditions possibles, notamment avant de disputer des compétitions internationales. Ce programme de préparation s’inscrit dans cette logique, que cela concerne la qualité de nos adversaires ou des installations dans lesquelles nous allons évoluer et où nos fans pourront venir en nombre soutenir les joueurs de Vincent Collet avant une Coupe du Monde disputée en Asie. »
Boris Diaw (Manager Général Team France Basket) : « Nous avons construit une préparation sérieuse et ambitieuse à l’image de l’Équipe de France. Nous sommes heureux de pouvoir évoluer dans des salles à grandes capacités face à des adversaires de grande qualité. Nous travaillons actuellement à la finalisation de notre programme qui permettra à l’équipe se s’acclimater avant de débuter la Coupe du Monde en Asie. ».