Emmeline Ndongue | FFBB

Emmeline Ndongue

ACADÉMIE DU BASKET FRANÇAIS
La promotion 2020 a été dévoilée
A l’issue de l’Assemblée Générale élective de samedi, Jean-Pierre Siutat, qui venait d’être réélu à la tête de la FFBB, a dévoilé au nouveau Comité Directeur, la promotion 2020 de l’Académie du Basket...
En passant par la WNBA
La Ligue Féminine de Basket fête ses 20 ans. Tout au long de la saison, la LFB vous propose de découvrir ou redécouvrir, les faits marquants, les équipes, les entraîneurs ou e...
Emmeline Ndongue marraine des JNA 2017
Du 20 au 30 octobre 2017 se dérouleront les Journées nationales de l’Arbitrage. À travers de multiples initiatives relayées dans toute la France, l’opération s’attache à sensi...

La promotion 2020 a été dévoilée

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Le Comité d’Honneur de l’Académie avait procédé à l’élection de la nouvelle promotion au printemps dernier. La situation sanitaire n’a pas permis de dévoiler les noms des nouveaux Académiciens au cours d’une cérémonie qui se tient traditionnellement en ouverture de l’Assemblée Générale FFBB (cette année au Touquet-Paris-Plage, 16 et 17 octobre). Voici les noms des 6 nouveaux Académiciens du Basket Français, promotion 2020.

Au titre du collège « pionnier/pionnière » :

Marguerite Radideau (1907-1978)
Marguerite Radideau fut athlète et basketteuse de 1924 à 1930. Elle débute l’athlétisme aux Linnet’s de Saint-Maur en 1924. Elle bat plusieurs records du Monde et participe aux Jeux Mondiaux féminins de 1926 et 1930 et aux Jeux olympiques en 1928. En basket, elle fait partie des Linnet’s à la création de l’équipe. Elle est le bras droit de Lucienne Velu et remporte trois titres de Championne de France en 1928, 1929 et 1930. Elle est Internationale au lancement de l’équipe de France FSFSF (Fédération des Sociétés Féminines Sportives de France) et participe au Championnat d’Europe 1930 à Strasbourg (Or) et au Championnat du Monde 1930 à Prague (Argent). Calme et discrète, ce n’en est pas moins une redoutable compétitrice. Elle arrête la compétition en 1931 après avoir épousé Pierre Schoebel, plongeur qui participera aux Jeux Olympiques de Los Angeles en 1932.

Au titre du collège « joueurs/joueuses » :

Emmeline Ndongue – Née le 25 avril 1983
Championne d’Europe 2009 et triple médaillée européenne, vice-championne olympique, championne de France à cinq reprises, vainqueur de la Coupe de France quatre fois et de la Coupe de la Fédération trois fois, de l’Euroligue en 2001, meilleure joueuse française du championnat de France en 2011…Elle compte 196 sélections en Équipe de France…Au-delà de ses qualités exceptionnelles en défense, où elle alliait taille, mobilité et intensité, elle était une joueuse d’équipe déterminante par sa motivation, son exigence et son sens du collectif. L’ampleur de son palmarès en témoigne.


Ronny Turiaf – Née le 13 janvier 1983
Bien que n’ayant jamais été médaillé avec l’Équipe de France séniors, il est, aux côtés de Tony Parker et de Boris Diaw, un symbole de l’Équipe de France des années 2000-2010. Partenaires au Centre fédéral, champions d’Europe juniors en 2000 à Zadar au terme d’un parcours épique conclu en finale face à la Croatie par un panier à la dernière seconde de…Ronny Turiaf, ils incarnent une génération ambitieuse et très attachée au maillot bleu.

A l’issue d’un parcours universitaire remarquable à Gonzaga, Ronny Turiaf est drafté par les Los Angeles Lakers en 2005. Lorsque les médecins lui détectent un problème cardiaque, sa carrière sportive semble compromise. Pourtant, 6 mois après avoir subi une opération à cœur ouvert, Ronny dispute sa première rencontre en NBA. Il effectue sa carrière en club dans plusieurs franchises de la ligue nord-américaine. En 2012, il est champion NBA avec le Miami Heat. Joueur apprécié pour son inextinguible énergie, sa volonté farouche, son engagement sans faille, il a été considéré comme un coéquipier précieux et exemplaire dans toutes les équipes au sein desquelles il a évolué.

Alain Larrouquis – Né le 15 juin 1950
Aux dires de ses coéquipiers, il ne valait mieux pas perdre aux côtés d’Alain Larrouquis…A ses qualités de basketteurs, à l’élégance de son tir en suspension, il ajoutait une haine de la défaite qui a profité à un Elan Béarnais Orthez émergeant. Le meneur de jeu adroit et déterminé accompagna le club dans son ascension vers les sommets, avant d’aller exercer son talent à l’ASVEL puis à Antibes.


Au titre du collège « arbitres »  :

Jean-Claude Bois – Né le 5 février 1936
Jean-Claude Bois a découvert le basket près d’Orléans (au Cercle Laïque des Tourelles d’Olivet) mais il dut délaisser le terrain pour poursuivre ses études à l’école normale. Il retrouva le basket-ball en tant qu’arbitre. Il excella dans ce domaine et fut nommé arbitre international en 1971. Il mena une carrière exemplaire (238 rencontres internationales arbitrées dont la finale du Championnat d’Europe féminin 1982). Il s’investit également en tant que dirigeant au sein de la Ligue régionale du Centre, dont il fut le président. Il entra au Comité directeur de la FFBB en 1988 et devint Trésorier et Vice-Président (1996-2004) de la Fédération. Son accession récente au grade de Chevalier de l’Ordre National du Mérite vient consacrer une carrière exceptionnelle au service du basket-ball.

Au titre du collège « entraîneurs » :

Alain Jardel – Né le 16 juin 1946
En basket-ball, le panier contre son camp est interdit…C’est la « jurisprudence Jardel », en référence à l’astuce qui permit à Mirande de renverser un match…Pourtant, résumer Alain Jardel à ses brillants tours de passe-passe avec le règlement serait injuste… injuste pour son palmarès et injuste pour sa vision collective du basket au service de la performance. Le premier titre international majeur du basket français a été remporté par l’Équipe de France féminine en 2001. Ces douze filles en or étaient entrainées par Alain Jardel. En club, il était l’âme du BAC Mirande, qu’il conduit au sommet du Championnat de France.

Promotion 2020
Mme. Marguerite RADIDEAU (Collège Pionniers)
Mme Emmeline NDONGUE
M. Ronny  TURIAF
M. Alain LARROUQUIS
M Jean-Claude BOIS
M. Alain JARDEL


Les académiciens déjà élus :

Promotion 2004 : Mme Jacky CHAZALON, MM. Roger ANTOINE, Christian BALTZER, Jean-Paul BEUGNOT, André BUFFIERE, Maxime DORIGO, Hervé DUBUISSON et Alain GILLES.

Promotion 2005 : Mmes Anne-Marie COLCHEN et Irène GUIDOTTI, MM. Robert BLANCHARD, Robert BUSNEL, Richard DACOURY, Jacques DESSEMME, et Jacques MARCHAND.

Promotion 2006 : Mmes. Elisabeth RIFFIOD et Edith TAVERT, MM. Marcel BARILLE, Raphaël DE BARROS, Robert MONCLAR et Jacques PERRIER.

Promotion 2007 : Mme. Yannick STEPHAN, MM. Jacques CACHEMIRE, Michel CANQUE, Jean DEGROS, Roland ETIENNE, Henri GRANGE et l’Equipe de France Féminine – Médaille de bronze – Championnat du Monde 1934 ; Equipe de France Masculine – Médaille d’argent – JO de Londres 1948.

Promotion 2008 : Mmes Georgette COSTE-VENITIEN et Catherine MALFOIS, MM. Louis BERTORELLE, Bernard GASNAL, Jean-Michel SENEGAL et M. Pierre TESSIER.

Promotion 2009 : Mme Odile SANTANIELLO, MM. André TONDEUR, Joë JAUNAY, Jean-Claude BONATO, et Jean PERNICENI.

Promotion 2010 : MM. Jacques FLOURET, Eric BEUGNOT, Antoine RIGAUDEAU, Pierre SEILLANT et l’Equipe de France Masculine – Médaille d’argent – JO de Sydney 2000.

Promotion 2011 : Mme Yvonne SANTAIS-HOUEL, Yannick SOUVRE-VACHERON, Isabelle FIJALKOWSKI, MM. Philip SZANYIEL, Jacques MONCLAR, Yvan MAININI, et l’Equipe de France Féminine – Médaille d’or – CE 2001.

Promotion 2012 : Mme Lucienne VELU-CHAPILLON, Jacqueline DELACHET, Paoline EKAMBI, MM. Jacques HUGUET, René CHOCAT, Roger HAUDEGAND.

Promotion 2013 : Mme Ginette MAZELLE, MM. Emile FREZOT, Stéphane OSTROWSKI, Jean BAYLE-LESPITAU et Max MAMIE.

Promotion 2014 : Mmes Martine CAMPI et Cathy MELAIN, MM. Jim BILBA, Gérard BOSC, Wladimir FABRIKANT, Henry FIELDS, Michel RAT

Promotion 2015: Mmes Sandra LE DREAN et Colette PASSEMARD, MM. Jean-Claude BIOJOUT, Charles BOIZARD, Yann BONATO, Xavier POPELIER et Michel LE RAY

Promotion 2016: Mme Françoise QUIBLIER, MM. Robert COHU, Freddy HUFNAGEL, Jean-Pierre STAELENS et André VACHERESSE

Promotion 2017: Mmes Danielle PETER et Loëtitia MOUSSARD, MM. Louis DEVOTI, Jean-Pierre DUSSEAULX, Henry LESMAYOUX et Laurent SCIARRA

Promotion 2018 : Mmes Geneviève GUINCHARD et Nathalie LESDEMA, MM. Wladimir BOURYSCHKINE, Laurent FOIREST, Frédéric FORTE et Moustapha SONKO

Promotion 2019 : Mmes Edwige Lawson et Audrey SAURET, MM. Didier Gadou, Stéphane RISACHET et Emile TOUZET ainsi que l’Équipe de France Féminine – Médaille d’or – Championnat d’Europe 2009

Le Comité d’Honneur 2020 :
M. Gérard BOSC (Président), , Mmes Françoise AMIAUD, Martine CAMPI, Jacky CHAZALON, Isabelle FIJALKOWSKI et Geneviève GUINCHARD, Jean-Claude BOIS, Maxime DORIGO, Jean DONNADIEU, Bernard GROSGEORGE, Pascal LEGENDRE et Michel RAT.

Catégorie: 
Surtitre: 
ACADÉMIE DU BASKET FRANÇAIS
Auteur: 
Service communication et Archives et patrimoine
Date d’écriture: 
Lundi, 21. Décembre 2020
Vignette: 
Une très belle promotion 2020 de l'Académie du Basket Français
Catégorie 2: 
Chapeau: 
A l’issue de l’Assemblée Générale élective de samedi, Jean-Pierre Siutat, qui venait d’être réélu à la tête de la FFBB, a dévoilé au nouveau Comité Directeur, la promotion 2020 de l’Académie du Basket Français. Six nouveaux membres ont fait leur entrée officielle au sein de cette académie,. Ils rejoignent ainsi les grands noms qui constituent les 15 promotions précédentes de ce « Hall of Fame » du basket français.
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En passant par la WNBA

Corps: 

Si la WNBA n’a pas le prestige de la NBA pour les garçons, c’est aussi un rêve d’y entrer un jour. Onze Françaises ont trouvé les clés du paradis et l’une d’entre-elles, Sandrine Gruda, a même réussi à gagner le tant convoité titre de champion.

« Les années précédentes, quand on me parlait de WNBA, je disais non sans regarder quoi que ce soit et là, je me suis posée deux minutes, j’ai réfléchi et je me suis dit que c’est peut-être maintenant ou jamais. L’année prochaine, il y a le championnat d’Europe en début d’été, l’année d’après, les Jeux Olympiques si tout se passe bien et après, je vais commencer à être vraiment vieille ! Donc c’était l’année pour tenter cette expérience. »
Ainsi Céline Dumerc expliquait pourquoi à l’été 2014 elle a décidé de faire le grand saut en acceptant une offre du Atlanta Dream ; une expérience de 28 matches en WNBA dont 11 comme membre du cinq de départ pour une production moyenne de 3,3 points et 4,0 passes.
Contrairement aux garçons avec la NBA, la WNBA n’est pas pour les Françaises une fin en soi. Pour différentes raisons, le montant des émoluments est incomparable (36 500$ de salaire pour la saison pour une rookie, 72 000$ en moyenne pour l’ensemble des joueuses), la saison se tient uniquement l’été et perturbe souvent celle de l’Équipe de France, et les réussites sont finalement peu nombreuses.

Isabelle Fijakowski, la pionnière

Celle qui a eu le plus fort impact, c’est la pionnière Isabelle Fijalkowski, qui a participé aux deux premières saisons de la ligue américaine (1997 et 98) avec une bonne franchise de l’époque, les Cleveland Rockers. La Clermontoise, qui était alors reconnue comme la joueuse numéro 1 d’Europe, avait transité par une université américaine, Colorado, ce qui avait eu l’avantage de la mettre sous les radars des scouts de la ligue et sa taille (1,95m) constituait aussi un atout maître.
« J’ai eu la chance d’avoir des opportunités dans cette équipe telle qu’elle était composée car si j’étais tombée dans l’équipe de Lisa Leslie et de DeLisha Milton, peut-être que je n’aurais pas eu autant de temps de jeu, pas le même rôle. Il y a aussi plus de concurrence pour les extérieures. »
Ses performances chiffrées (12,8 points et 6,2 rebonds en 29 min/match) sont éloquentes et pourtant Isabelle a préféré ne pas poursuivre plus longtemps l’aventure américaine. « J’ai joué deux ans sans avoir beaucoup d’arrêt et j’ai commencé à avoir les genoux pas très nets. Pour moi, la priorité c’était l’équipe de France. »

Onze Françaises en WNBA

Au total ce sont onze Françaises qui ont rejoint un jour la WNBA dont six pour une seule saison. Parmi elles, Emmeline Ndongue, l’un des piliers des Bleues, championne d’Europe en 2009 et vice-championne olympique trois ans plus tard. Il suffit parfois d’une rencontre pour que les portes de la ligue s’ouvrent comme par magie.
Ainsi Emmeline avait réalisé avec Aix-en-Provence deux très bons matches en finale de l’Eurocup face au Spartak Moscou de Lisa Leslie, une sommité du basket américain. « Visiblement, Lisa Leslie a été impressionnée et elle m’a mis en contact avec le club. Au début, je prenais ça pour de la rigolade. Je lui avais filé mon numéro à la fin du match et je n’en attendais rien. Et en fait, deux jours plus tard, j’ai reçu un coup de fil de la General Manager. »
L’empreinte de Emmeline Ndongue aux Los Angeles Sparks ne sera pas éternelle comme celles de Valériane Ayayi à San Antonio, Lucienne Berthieu à Cleveland et Houston, Emilie Gomis à New York, Sabrina Palie à Detroit, Audrey Sauret à Washington, et Laure Savasta à Sacramento. Au moins Sabrina Parie peut-elle se féliciter d’être tombée dans l’équipe, le Detroit Shock de Bill Laimbeer, qui sera championne WNBA en 2006. Sauf que Sabrina ne faisait plus partie du roster au moment des playoffs.
La bague de champion, Edwige Lawson-Wade l’a même touchée du bout des doigts puisqu’elle est allée jusqu’en finale avec les Silver Stars San Antonio échouant trois manches à zéro contre ce même Detroit Shock. « Pour réussir là-bas, il faut avoir un coach qui se déplace en Europe. 85%, je dirais, ne connaissent rien du tout à l’Europe », indique Edwige pour insister sur le fait qu’une part de chance est nécessaire dans la réussite de l’entreprise. C’est ainsi que la médaillée d’argent aux Jeux de Londres s’est retrouvée un temps meneuse titulaire au sein de la franchise du Texas.

Sandrine Gruda, la championne

Sandrine Gruda a réussi à décrocher le Graal mais elle a dû en quelque sorte consentir à des sacrifices sportifs. La première partie de sa carrière, elle l’a menée dans une équipe de deuxième zone, le Connecticut Sun où son abatage dans la peinture était reconnu (jusqu’à 13,5 points et 6,3 rebonds en 32’ en 2009).
« Jouer en WNBA m’a permis de me découvrir davantage », disait-elle alors. « Je ne savais pas que je pouvais jouer en 3 jusqu’à ce que je le fasse réellement et pas dans n’importe quel championnat, en WNBA. Je l’ai fait par exemple contre Phoenix et Penny Taylor. Ça n’a pas été facile au début, mais j’ai approfondi mes compétences. »
Après un break de quatre saisons, la Martiniquaise est retournée dans la ligue mais cette fois aux Los Angeles Sparks. Son temps de jeu y a fondu comme neige au soleil (7 matches à 5 minutes de moyenne en 2016) mais au bout du suspense, un titre de champion est venu la récompenser cette année-là et encore une finale l’été dernier.
La morale de l’histoire c’est que même pour les basketteuses, et même pour les plus réfractaires d’entre-elles à l’american way of life, comme Céline Dumerc, jouer en WNBA est comme un rêve qui devient réalité.
« C’est un vrai régal », confiait l’icône du basket féminin français alors qu’elle portait le maillot du Dream. « Quand je rentre dans le Madison Square Garden, j’ai la banane comme une gamine ! Quand je vais à San Antonio, je me dis : « Les mecs étaient champions NBA ici, il y a quinze jours ! » Ce sont des moments forts et c’est un sacré confort. »

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Surtitre: 
20 ans LFB
Auteur: 
Texte : Pascal Legendre - Visuel : Chloé Bérard
Date d’écriture: 
Mardi, 28. Novembre 2017
Vignette: 
Chapeau: 
La Ligue Féminine de Basket fête ses 20 ans. Tout au long de la saison, la LFB vous propose de découvrir ou redécouvrir, les faits marquants, les équipes, les entraîneurs ou encore les joueuses qui ont fait sa légende. Aujourd'hui, zoom sur les joueuses françaises passées par la WNBA.
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Emmeline Ndongue marraine des JNA 2017

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Thierry Dusautoir, Daniel Narcisse, Emmeline Ndongue, Ludovic Giuly et Laura Glauser apporteront leur soutien aux arbitres et partageront leurs propres expériences en tant que joueurs mais également en tant que supporters, passionnés de sport.

Ils s’associent à La Poste, ainsi qu’aux fédérations et ligues de football, rugby, basket et handball pour dire tout simplement merci et bravo aux 58 000 arbitres ces 4 sports qui œuvrent chaque week-end sur tous les terrains.

Depuis 10 ans, La Poste a déployé le programme d’action "Tous arbitres", pour accompagner concrètement les arbitres mais aussi pour valoriser l’image de ces hommes et ces femmes et les valeurs qu’ils incarnent auprès du grand public, souvent peu averti sur la question.

Rares sont les partenariats, qui bien au-delà du sponsoring, ont véritablement du sens ! Pour La Poste, faire le choix, en 2007, d’associer son image à celle des arbitres était un pari audacieux…10 ans plus tard, tout permet d’affirmer qu’il est sans conteste gagné !

C’est la cohérence de ce partenariat et les valeurs dont il est porteur qui en ont construit le succès :
• Les arbitres, comme les postiers sont en effet des acteurs de terrains et de confiance.
• Investis d’une mission de service public ils agissent tous les jours, partout et pour tous.
• Le respect, le courage, l’engagement au service du jeu, la confiance, le fairplay et l’esprit sportif sont autant de valeurs partagées par La Poste et l’arbitrage.

Plus d'infos sur les JNA sur www.tousarbitre.fr

Catégorie: 
Surtitre: 
Journées Nationales de l'Arbitrage
Auteur: 
Communiqué La Poste
Date d’écriture: 
Lundi, 9. Octobre 2017
Vignette: 
Emmeline Ndongue
Catégorie 2: 
Chapeau: 
Du 20 au 30 octobre 2017 se dérouleront les Journées nationales de l’Arbitrage. À travers de multiples initiatives relayées dans toute la France, l’opération s’attache à sensibiliser les joueurs ainsi que le grand public à l’importance du rôle de l’arbitre. Ce coup de projecteur sur cette fonction aussi complexe qu’incontournable, permet également de susciter des vocations, notamment auprès des jeunes. Qui mieux que des champions exemplaires, ayant marqué l’histoire de leur sport et incarné l’esprit sportif et le respect, pouvaient parrainer cette nouvelle édition des Journées nationales de l’Arbitrage ?
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